La carrière de voyageuse d’Alexandra David-Néel commence à 17 ans, l’âge de sa première fugue qui la conduit de la Belgique, où elle vit, à Londres. Après une deuxième fugue, cette fois vers la Suisse, elle repart, majeure, en toute liberté et nantie d’un petit héritage, pour l’Inde, où elle étudie le bouddhisme et le sanskrit. À son retour, ayant épuisé son capital, elle devient chanteuse lyrique et accepte un contrat en Indochine, à Hanoï. Son nouveau métier l’entraîne ensuite à Athènes, Marseille, puis Tunis. Parallèlement, elle poursuit...
La suite de cet article n'est pas accessible gratuitement.