Issue d’une famille juive, Angela Bianchini prend le chemin de l’exil à 20 ans pour échapper aux lois antisémites de Mussolini et rejoint sa sœur aux États-Unis. En pleine guerre (1941), elle a la chance d’achever ses études à l’université Johns-Hopkins, auprès du philologue Leo Spitzer – le futur professeur Lowenberg...
La suite de cet article n'est pas accessible gratuitement.