Fille d’un couple d’aubergistes de Silésie, Anne-Louise Karsch, dite la Karschin, grandit dans des circonstances plutôt misérables. Après la mort de son père, elle vit de 1728 à 1732 chez son oncle, qui lui apprend à lire et à écrire. À 16 ans, elle se marie avec un tisserand, dont elle est séparée...
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■ KITSCH A., «… offt ergreiff ich um Besser mein zu sein die feder… », Ästhetische Positionssuche in der Lyrik Anna Louise Karschs(1722-1791), Wurtzbourg, Königshausen & Neumann, 2002.