En 1704, Kimpa Vita est d’abord une Nganga Marinda ou prêtresse de la société secrète Kimpazi, chargée des Mbumba kindonga, cérémonies d’exorcisme et de guérison, sur le mont Kibangou où se trouvait la grande pierre sacrée nommée Lunsunzi, aux pouvoirs protecteurs. À cette époque, les temples...
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■ BALANDIER G., La Vie quotidienne au royaume du Kongo DU XVIe au XVIIIe siècle (1965), Paris, Hachette, 1992 ; KAKÉ I. B., Dona Béatrice, la Jeanne d’Arc congolaise, Paris, ABC, 1976.