Née sur l’île capverdienne de Sao Vicente dans une famille pauvre, Cesária Évora est placée dans un orphelinat à l’âge de 7 ans, après le décès de son père, guitariste et violoniste amateur. Sa mère est cuisinière. C’est son premier amour, Éduardo, un marin, qui lui enseigne l’art de l’interprétation des mornas et coladeiras, deux airs traditionnels acoustiques de l’archipel atlantique. Un art auquel Francisco da Cruz, dit B. Leza, cousin de son père, a donné ses lettres de noblesse...
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