À la Belle Époque, les actrices qui se produisent en solo appartiennent à deux univers opposés. Dans les salons, les sociétaires de la Comédie-Française détaillent des monologues humoristiques, signés d’académiciens comme Henri Lavedan. Dans les cafés-concerts, les « diseuses » soulignent les sous-entendus de textes coquins. Plus tard, avec la vogue du music-hall, de jeunes actrices habillées en soubrettes disent des textes, parfois en vers de mirliton...
La suite de cet article n'est pas accessible gratuitement.