Fille d’un important fonctionnaire des douanes, Constance Mayer bénéficie toute sa vie d’une certaine indépendance grâce à son héritage. Élève de Joseph-Benoît Suvée et de Jean-Baptiste Greuze, elle débute sa carrière au Salon de 1796. Son style assez précis, dans la lignée de Jacques-Louis...
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■ LAVEISSIÈRE S. (dir.), Prud’hon ou le rêve du bonheur (catalogue d’exposition), Paris, Réunion des musées nationaux, 1998 ; SUTHERLAND HARRIS A., NOCHLIN L., Femmes peintres 1550-1950, Paris, Des femmes, 1981.