Condamnée à l’exil, Diana Morán Garay a exprimé dans son lyrisme combatif la blessure de sa patrie violentée et la vitalité érotique de la nouvelle écrivaine latino-américaine. Déjà avec Eva definida (« Ève définie », 1959), écrit en collaboration avec l’écrivaine costaricaine Ligia Alcázar, elle introduit dans ses vers l’empreinte du corps féminin...
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