Poétesse de l’amour et de la douleur, Ekaterina Nenčeva demeure aujourd’hui dans la critique littéraire bulgare comme la Madone en noir, elle qui, après la mort inexpliquée de son père et le suicide de son jeune frère, ne s’est plus vêtue que de noir. Elle meurt à l’âge de 35 ans, emportée...
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