Ayant grandi dans une famille soufie à une époque où la pratique des arts par les femmes est méprisée par la société afghane, le talent de Farida Mahwash est pourtant repéré dès l’adolescence par ses professeurs, qui l’invitent à chanter lors de la fête de l’école. Élève moyenne, elle préfère aller voir les films indiens au cinéma et écouter la musique produite au quartier de Kharâbat que jouent les radios afghanes. Mariée à 18 ans, elle entre à la station nationale comme secrétaire...
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