Sur les pas d’Oum Kalsoum*ou de Fairouz*, Oulaya s’imposa dans la seconde moitié du XXe siècle comme une grande diva arabe, particulièrement en Égypte. Élevée par son oncle, elle fut très tôt repérée par Ridha Kalaï, violoniste et époux de sa grande sœur. Il lui composa la chanson Dhalamouni habaïbi, qu’elle enregistra sous le pseudonyme...
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