« Chez elle », à Los Angeles lors des jeux Olympiques de 1984, Florence Delorez Griffith se fit remarquer des médias et du public plus par la longueur invraisemblable de ses ongles laqués de toutes les couleurs que par sa deuxième place au 200 mètres (22 s 04) devant la Jamaïcaine Merlene Ottey (22 s 09), mais nettement derrière sa compatriote Valerie Brisco-Hooks (21 s 81). Quatre ans plus tard, est-ce la même femme à Séoul, qui porte les records du monde du sprint à un tel niveau que trente ans après ils sont restés inaccessibles ? Alors qu’on n’a jamais été...
La suite de cet article n'est pas accessible gratuitement.