Friederike Caroline Neuber perd sa mère à l’âge de 8 ans et essaie très tôt de se soustraire à la tutelle de son père, notaire à Zwickau. En 1712, elle s’enfuit avec un étudiant en droit, Gottfried Zorn, ce qui lui vaut une détention de treize mois. D’un commun accord avec son amant et futur mari Johann Neuber...
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■ Das Lebenswerk der Bühnenreformerin, Poetische Urkunden, Rudin B., Schulz M. (éd.), 1997-2002, Reichenbach im Vogtland, Schriften des Neuberin-Museums, no 8.