Ha Sôngnan débute en littérature en 1996, avec la nouvelle P’ul (« l’herbe ») et est rapidement consacrée par la critique (prix Tong’in en 1999 et prix Hanguk Ilbo en 2000). C’est une écrivaine minimaliste, en ce sens qu’elle se refuse aux effets, au sentimentalisme, ce qui est assez rafraîchissant...
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