Descendante de la lignée des Grgurović, Ida Verona écrivait majoritairement en français, mais aussi en roumain et en italien, et a passé une partie de sa vie à Paris. Si certains l’appelaient la « poétesse monténégrino-roumaino-française », elle se définissait avant tout comme slave et fille...
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■ VUKOVIĆ J., « U tuđem jeziku i zemlji – Ana Marija Marović i Ida Verona », in KALEZIĆ S., Crnogorska književnost u književnost kritici III. Racionalizam, romantizam, Podgorica, Obod, 2000.