Née dans une famille de la petite noblesse de Haute Carniole, Josipina Turnograjska reçoit une éducation soignée. Son premier précepteur lui insuffle l’amour de la langue slovène, alors considérée par la noblesse comme la langue vulgaire du peuple non cultivé. C’est dans cette langue qu’elle commence à écrire dès l’âge de 17 ans. Elle aurait pu tenir...
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