Bien que son père soit ingénieur, Klára Garas montre un intérêt précoce pour les humanités et pour l’histoire de l’art en particulier. Après un séjour à Paris en 1939, découvrant qu’elle venait d’un « petit monde fermé », elle met sa bicyclette sur le train et « pédale » vers des lieux éloignés afin de collecter des matériaux pour sa thèse. Elle obtient un doctorat en histoire de l’art et archéologie...
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■ FERENC H. (dir.), Garas Klára művészettörténész. Nők a tudományban, Budapest, Medicina Könyvkiadó, 2008 ; TÓTH Z. E., « Garas Klára », in BALOGH M., PALASIK M.(dir.), Nők a magyar tudományban, Budapest, Napvilág Kiadó, 2010.