En 1669 fut publié à Paris, chez Claude Barbin, un petit livre intitulé Lettres portugaises traduites en françois, sans aucune référence au nom de son auteur ni à celui de son traducteur. Cependant, la lecture des lettres et d’un avertissement « au lecteur » pouvait laisser penser que les cinq lettres avaient été écrites de la main d’une religieuse portugaise nommée Mariana, qu’elles s’adressaient à son amant français, un « gentilhomme de qualité, qui servoit en Portugal », et que l’édition et la traduction par un traducteur inconnu...
La suite de cet article n'est pas accessible gratuitement.