C’est probablement son mariage tardif – à plus de 50 ans – qui permit à Lucrezia Marinelli de se consacrer à ses études dans la riche bibliothèque de son père, un médecin très cultivé, de formation aristotélicienne, qui avait rédigé plusieurs ouvrages sur les maladies des femmes. En 1600, L. Marinelli publiait La...
La suite de cet article n'est pas accessible gratuitement.
■ CONTI ODORISIO G., Donna e Società nel Seicento, Lucrezia Marinelli e Arcangela Tarabotti, Rome, Bulzoni, 1979 ; COLLIN F., PISIER E., VARIKAS E., Les Femmes de Platon à Derrida, Paris, Plon, 2000.