Pour protéger sa famille, elle prend un pseudonyme, « Joya », en mémoire d’un poète et écrivain constitutionaliste qui s’est battu contre l’injustice au début du XXe siècle. En 1982, la famille de Malalaï Joya fuit en Iran, puis au Pakistan, car son père est recherché par la police secrète. M. Joya revient en 1998 en Afghanistan...
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