Née en Italie du Nord dans une famille de la petite bourgeoisie d’État, Mariuccia Salvati devient universitaire après un long détour par les littératures étrangères (licence à l’université Bocconi) et l’histoire du mouvement ouvrier, surtout français (I giornali della Comune, 1971). En s’appuyant sur la fondation Basso à Milan et à Rome, elle s’engage dans l’organisation...
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