« J’aime les choses qui existent “plus ou moins”. » Cette déclaration de Martine Aballéa signe un programme esthétique, mais peut-être plus encore une exigence et une façon d’être au monde. Installée à Paris en 1973, physicienne de formation, elle garde un goût pour le caractère foncièrement imaginaire des théories scientifiques. Artiste du « vraisemblable »...
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