D’ascendance française et d’origine juive, Michèle Najlis devient théologienne du centre œcuménique Antonio-Valdivieso. Partisane puis opposante à la politique sandiniste, elle produit une œuvre qui reflète les deux périodes de la littérature nicaraguayenne marquées par la révolution. Son premier recueil de poésie, El viento armado (« le vent armé », 1969)...
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