Considérée comme l’une des grandes romancières du Bangladesh, la veine narrative de Nâsrin Jâhân est proche du réalisme magique d’un Gabriel García Márquez, ou d’écrivains bengalis comme Syed Wâliullâh (1922-1970) et Âktâruzzaman Iliâs (1943-1997). Son œuvre, entre réalité et imaginaire, tente de révéler leur porosité. Elle se développe dans un...
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