La mère de Natalie Wood, danseuse classique d’origine française (son père est un architecte russe), pousse sa fille à débuter à l’écran à l’âge de 4 ans, dans Happy Land (1943). Le réalisateur Irving Pichel engage de nouveau la fillette pour Demain viendra toujours (1946), avec Orson Welles et Claudette Colbert*...
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■ FINSTAD S., Natasha : The Biography of Natalie Wood, New York, Harmony Books, 2001 ; LAMBERT G., Natalie Wood : A Life, New York, Alfred A. Knopf, 2004 ; WOOD L., Natalie : A Memoir by Her Sister, New York, Putnam, 1984.