Interrompue en 1996, l’activité créatrice d’Okazaki Kyōko n’a duré qu’une dizaine d’années. Son évolution correspond à celle de la société de consommation au Japon : son expansion, son échec (dû à l’éclatement de la bulle financière), et le marasme qui a suivi. Ses héroïnes sont des femmes issues de familles fragilisées par le divorce ou la mésentente...
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