Après des études à l’École supérieure pour jeunes filles du Japon (Nihon joshi daigaku), Oku Mumeo commence à s’intéresser aux questions sociales et écrit en 1919 des articles pour la revue Rōdō sekai (« le monde du travail »). Elle donne des conférences, puis se fait embaucher comme ouvrière dans une usine textile, sans révéler sa véritable identité. En 1920, elle participe à la fondation de l’Association...
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■ KANEKO S.et al., Nihon josei-shi daijiten, Tokyo, Yoshikawa Kōbunkan, 2007 ; MACKIE V. C., Feminism in Modern Japan : Citizenship, Embodiment and Sexuality, Cambridge/New York, Cambridge University Press, 2003.