Olga Andreïevna Chapir, fille d’un paysan anobli, fait de brillantes études. Après avoir suivi son mari, exilé à Saratov pour activité révolutionnaire, elle revient à Saint-Pétersbourg en 1880, où elle gagne sa vie en traduisant. En 1890, elle devient membre de la Société féminine russe d’entraide...
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