Esclave et musicienne (elle jouait de la flûte), Rābi‘a al-‘Adawiyya se livra de plus en plus à l’ascèse. Selon la tradition, son maître l’affranchit après avoir vu une lumière qui brillait au-dessus de sa tête, alors qu’elle priait. Certains ont dit qu’elle aurait mené une vie dissolue avant une « conversion » – phénomène...
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■ ANNESTAY J., Une femme soufie en islam, Râbi‘a al-‘Adawiyya, Paris, Entrelacs, 2009 ; BENGHAL J.-E., La Vie de Râbi‘a al-‘Adawiyya, une sainte musulmane du VIIIe siècle, Paris, Éditions Iqra, 2000.