Licenciée en droit, Rosiska Darcy de Oliveira travaille tout d’abord comme journaliste, mais son combat contre la dictature militaire installée au Brésil en 1964 lui vaut d’être accusée de crime contre la sécurité et l’oblige, en 1970, à s’exiler en Suisse. Là, elle s’engage dans le mouvement féministe émergent et publie ses premiers écrits : La Libération...
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