Après la mort de sa mère, en 1906, Sara Fabricius réalise son rêve d’aller étudier la peinture à Paris, où elle reste quinze ans, évoluant dans le milieu artistique scandinave. En 1913, elle épouse le sculpteur suédois Anders Jönsson. À la naissance de leur fils, en 1917, elle abandonne la peinture au profit de l’écriture. Bien qu’établie...
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■ Alberte et Jacob (Alberte og Jakob, 1926), Paris, Des femmes-Antoinette Fouque, 1991 ; L’Enfant (s. d.), in De Christiania à Oslo, 12 nouvelles norvégiennes, Nantes, L’élan, 1991.