Née en Pologne, Shoulamit Hareven émigre en Palestine à l’âge de 10 ans, quelques mois à peine après le début de la Seconde Guerre mondiale. Journaliste, essayiste, romancière, traductrice, cette écrivaine de talent est aussi une femme d’action qui, dès la première heure, prend part à la lutte pour l’Indépendance, d’abord au sein de la Haganah, puis comme infirmière dans Jérusalem assiégée, avant de devenir officier au sein de l’armée ; quelques décennies plus tard...
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■ La Ville aux jours nombreux (‘Ir yamim rabbim, 1972), Paris, Belfond, 1990 ; Solitudes (Bedidout, 1980), Paris, Fixot, 1994 ; Soif. La Trilogie du désert (Tzimaon, 1996), Genève, Metropolis, 1999.