« Mademoiselle Arnould n’était point jolie ; sa bouche déparait son visage, ses yeux seulement lui donnaient une physionomie où se peignait l’esprit remarquable qui l’a rendue célèbre. On a répété et imprimé un nombre infini de ses bons mots. » C’est ainsi qu’Élisabeth Vigée Le Brun* dépeignait Madeleine-Sophie...
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■ DEVILLE A., Arnoldiana, ou Sophie Arnould et ses contemporaines, Paris, Gérard, 1813 ; GONCOURT E. et J. de, Sophie Arnould, d’après sa correspondance et ses mémoires inédits, Paris, Poulet-Malassis et de Broise, 1857.