Depuis le milieu des années 1980, Tania Bruguera développe une œuvre militante, qui s’essaie à repenser et à redéfinir le rôle de l’art au sein de la société. Dans ses différents travaux – performances, vidéos, objets, dessins, installations –, le corps constitue un support essentiel en tant « qu’espace social et politique ». Ainsi, dans ses premières œuvres, elle se met en scène, parfois de manière violente, comme dans El peso de la culpa (« le poids de la faute », 1997) : nue, un animal mort...
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