Il faut attendre 1956 pour que la première Noire, Althea Gibson, avant même ses homologues masculins, fasse son apparition dans les palmarès de tennis en remportant Roland-Garros, puis Wimbledon et les Internationaux des États-Unis l’année suivante. Comment alors imaginer que deux sœurs issues de la communauté afro-américaine pourraient un jour dominer le monde des manieuses de raquette ? De semblables destinées peuvent-elles être programmées dès la petite enfance ? Autant de questions soulevées par le parcours de Venus, l’aînée de quinze...
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