Issue de la grande bourgeoisie de l’Empire ottoman, Zarouhi Bahri échappe avec sa famille aux déportations de 1915. Après la Première Guerre mondiale, elle s’engage dans des associations caritatives arméniennes, mais elle s’exile à Paris au lendemain de la victoire kémaliste. Le choc provoqué par la défaite française et l’Occupation en 1940 la pousse, à 60 ans, vers l’écriture...
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